Couic est restée toute la nuit à côté de notre tente. À 7h du matin, elle se met à aboyer. Sa voix fait échos dans la vallée, et elle se répond avec de plus en plus d'entrain. Cela nous fait bien rire... Elle réveille tous les chiens de la vallée, ce qui se transforme vite en cacophonie, et nous tire du lit, malgré la fraîcheur et le vent qui souffle.
Couic déjeune avec nous. '- Yoann, tu crois qu'on peut passer la frontière chinoise avec Couic? - non, et en plus, ils vont la manger la bas...'
Nous trainons un peu dans la tente. Le soleil a du mal à percer les nuages... Nous plions bagages et redescendons la colline. Nous prenons un minibus pour Naikher, abandonnant Couic sur la piste, la laissant seule à la merci des autres chiens errants, avec un grooooos pincement au coeur... Sniffff.... On l'aurait bien prise comme compagnon de route! Elle était si attachante...
Nous prenons une correspondance pour Ulanbaator et atteignons le centre après 1h de bouchon. Le trafic dans la capitale est difficile, malgré tous les policiers qui s'égosillent à souffler dans leurs sifflets toute la journée à chaque carrefour.
Nous trouvons rapidement une auberge. Il s'agit en fait d'un appartement dans lequel vivent des locaux, aménagé en auberge de jeunesse avec 3 lits superposés dans une petite pièce exiguë. Nous mettons à jour le blog, les mails (dans l'appartement voisin car il n'y a aucun acces internet dans le notre) et prenons une douche chaude réparatrice. La nuit sera courte, réveillés par la petite fille qui part a l'école, mais au chaud, ce qui n'est pas négligeable.
Nous trainons un peu dans la tente. Le soleil a du mal à percer les nuages... Nous plions bagages et redescendons la colline. Nous prenons un minibus pour Naikher, abandonnant Couic sur la piste, la laissant seule à la merci des autres chiens errants, avec un grooooos pincement au coeur... Sniffff.... On l'aurait bien prise comme compagnon de route! Elle était si attachante...
Nous prenons une correspondance pour Ulanbaator et atteignons le centre après 1h de bouchon. Le trafic dans la capitale est difficile, malgré tous les policiers qui s'égosillent à souffler dans leurs sifflets toute la journée à chaque carrefour.
Nous trouvons rapidement une auberge. Il s'agit en fait d'un appartement dans lequel vivent des locaux, aménagé en auberge de jeunesse avec 3 lits superposés dans une petite pièce exiguë. Nous mettons à jour le blog, les mails (dans l'appartement voisin car il n'y a aucun acces internet dans le notre) et prenons une douche chaude réparatrice. La nuit sera courte, réveillés par la petite fille qui part a l'école, mais au chaud, ce qui n'est pas négligeable.
Nooooooooooooooooon n'abandonnez pas Couiiiiccc...
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