La nuit n'a pas été reposante car les voisins ont fait la bringue toute là nuit, et les piquètes de moustiques grattent encore.
Nous quittons aujourd'hui la région, donc nous nous levons tôt. Yoann part acheter les billets de bus pendant que Laure va acheter des croissants dans une boulangerie française (pas mangé depuis la Mongolie). On boit un café au marché, on récupère le linge laissé la veille dans une laverie, on achète de quoi faire un casse-croûte, puis on se rend compte qu'il nous reste seulement l'équivalent de 8€, alors on se dit que ça serait pas mal de renflouer le portemonnaie, vu qu'il n'y a pas de distributeur à Coroico, notre prochain stop. Yoann fait la queue au bureau de change, mais la queue est si longue que l'on fini par retirer dans un distributeur.
À 11h30, nous voilà enfin à la gare routière. Le temps est orageux et lourd, nous attendons une heure que le bus parte. Un graniti rafraîchit un peu. Nous avons les deux places tout devant, ce qui permet de jouir d'une chouette vue panoramique sur la route. La piste est défoncée, nous sautons dans tous les sens. Puis le bus tombe en panne, problème dans la direction. Un garagiste trouve une solution et nous repartons, pas pressés d'arriver au milieu de la nuit à Coroico.
 |
| Les pigeons en reproduction |
 |
| A chaque rivière, pas de pont goudronné! |
 |
| Ensuite des kilomètres de piste |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire