Paraty J+2

05.03.2013
 
Nous sommes chassés des tentes vers 9h du matin par la chaleur qui même a l'ombre est écrasante! Le petit déjeuner, les douches, tout ça traîne un peu bizarrement. L'objectif premier de la journée est de passer la petite colline qui nous sépare des autres plages de la ville.
La ballade n'est pas très longue mais la chaleur éprouvante! Nous passons un moment à l'ombre d'un arbre dont les branches qui partent du tronc à l'horizontale constituent un parasol parfait et vraiment bienvenu!
Quand nos estomacs crie de nouveau famine nous faisons le tour des guinguettes du coin pour une pizza ou un Burger, envie de quelque chose de bien gras, mais il est trop tôt, ou trop tard pour cela...
Nous retournons donc en ville et trouvons un bouiboui où nous finissons les stocks de steak à hamburger. Vue l'heure avancée, difficile d'entreprendre grand chose, la distillerie de cachaca à 5 km parait être une bonne option mais il n'y a plus de transport en commun pour s'y rendre...
Nous nous rabattons alors sur la pêche et retournons acheter des crevettes. Le ciel dans les montagnes change de couleur et devient très menaçant. Pendant que les gars font quelques lancés les filles vont ranger les sacs dans les tentes. Le temps qu'elles reviennent nous avons tout plié et nous sommes abrités sous la terrasse d'un bar de plage fermé. Le vent souffle très fort avant que des trombes d'eau s'abattent sur la côte. Les éclairs illuminent le ciel, parfois à seulement quelques centaines de mètres de nous. L'orage passe rapidement, mais cela tonne encore pendant longtemps au large. Pour s'occuper pendant que la pluie fine qui a remplacé la tempête, nous faisons un tour au cyber café. Quelques courses pour le soir et nous passons la soirée sur la jetée à lancer la ligne et discuter. Les crevettes fonctionnent terriblement bien pour appâter les poissons mais elles ne tiennent pas à l'hameçon. Le seul petit que nous sortons sert plus tard lui même d'appât dans l'espoir d'en chopper un assez gros, l'histoire de nourrir tout le monde! Peine perdue il se fait la malle lui aussi.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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