La Paz J+1

23.04.2013
La mission de la journée est de faire prolonger notre permis de séjour limité à 30 jours en Bolivie, on commence à s'habituer sans se lasser alors profitons. Le bureau de l'immigration ouvre à 9h mais entre levé tard, petit dej à l'auberge, traînassage et transport pédestre sur place nous arrivons à débarquer pour le coup de tampon qui ne prend que 30 secondes vers 11h30. Si cela avait été si facile et si gratuit en Asie...
Nous passons par l'avenue principale pour trouver le bureau d'infos touriste, c'est fermé entre midi et deux. Nous voulons savoir comment, quand et où quitter la ville. L'estomac faisant déjà des signes nous retraversons la ville pour aller au marché. Les rues montrent, descendent, remontent et redescendent. Elles sont bordées de bâtiments publics, de haut buildings ou de simples maison de briques.
Nous goutons à la truite légèrement panée, un régal à 2 pour 2€.
Pas envie de retourner dans l'hypercentre pour les infos touristes alors nous allons pas loin du marché dans la rue des sacs à dos. En effet sur 500m se concentrent les hôtels, agences de tourisme et vente de matériel de trek, pour les gens comme nous en manque de sensations fortes, l'activité principale étant les 3600m de descente de la route de la mort en VTT. Nous sommes plus sages et nous renseignons pour un tour dans la jungle en plein bassin amazonien. Chaque agence propose les billets de bus pour se rendre à Rurrenabaque, mais nous décidons de les acheter par nous même au terminal à une autre extrémité de la ville.
Deux heures plus tard nous avons les billets en poche, économisé de quoi manger trois truites et fait le plein de victuailles pour le trajet de 20h minimum, départ le lendemain à 11h tapantes.
Après un dîner café sandwiches au marché nous faisons à nouveau un tour dans le quartier des sac à dos. En plus des magasins qui ont pignon sur rue, des stands en tout genre encombrent les trottoirs. On peut repartir avec une doudoune mammut ou bien un fœtus de lama porte bonheur.
De retour à la casa, la queue sur le trottoir d'en face pour prendre les transport en commun ne désemplit pas, 100m de long, mais où vont tous ces gens, c'est comme ça du soir au matin, avons nous raté quelque chose?
 
 
 
 
 
 
 
La ville qui grimpe dans les montagnes
 
De nuit et bien floue
 

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