Cusco

20.05.2013
Nous débarquons à 7h du matin à la gare routière, légèrement frigorifiés après la mauvaise nuit dans le bus. En attendant un minibus pour le centre, un homme nous propose une chambre dans son hôtel à un prix défiant toute concurrence. Nous faisons donc le trajet dans un micro-taxi payé à ses frais. À l'auberge, il fait également bien frais, nous montons au troisième dans la cuisine pour prendre le petit déjeuner. Puis la douche nous décrasse, sans nous réchauffer pour autant...
Nous sortons en ville où le soleil et le ciel bleu embellissent les rues. Nous nous renseignons au point info-touriste et dans quelques agences sur les prix pour aller au Machu Picchu. Finalement, le moyen le moins cher et le plus simple consiste à acheter le transport dans une agence, ce qui évite plusieurs changement de bus, puis à se débrouiller par nos propres moyens. Nous achetons donc nos billets pour le minibus, puis nous nous rendons dans l'agence officielle des tickets d'entrée du MP, où il faut faire deux fois la queue: une pour réserver, une pour payer (l'organisation à la péruvienne!).
Il est ensuite grand temps de manger un bout. Nous trouvons bonheur au marché. Yoann tente un 'Ceviché', une spécialité épicée à base de poisson et fruits de mer marinés dans du citron vert. Les filles avalent le menu du jour. Nous ressortons la peau du ventre bien tendue! Il faut encore faire nos provisions pour les prochains jours.
Il est assez difficile de s'orienter dans la ville. Les nombreuses places et églises grouillent de touristes, les automobiles se mêlent au chaos. Seule une rue piétonne est finalement assez agréable pour se promener. Les balcons en bois sculptés sont charmants!
De retour à l'auberge, nous profitons des derniers rayons de soleil sur la terrasse, puis descendons dans le salon grignoter des fèves grillées. Après avoir goûté la viande séchée du marché qui est extra-salée, nous demandons à la propriétaire comment la manger. Ce sera donc soupe de pâtes au bon bouillon naturel de bœuf. Puis nous filons dans les draps humides à la cave, fatigués par la nuit blanche et l'agitation de la ville.
 
 
 
 
 
 
A la comida
 
 
 
 
 

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