07.11.2012
Après une petite nuit 3 étoiles dans le train couchette, nous sommes arrivés à Panzihua, petite ville de 1.3 million d'habitants, ne figurant même pas sur notre guide. C'est comme si Munich n'était pas mentionné dans le guide de l'Allemagne... Nous montons dans un bus, qui nous emmène après une heure de traversée dans la ville à la gare routière. Nous prenons alors un car pour Lijiang. Nous pensions en avoir pour 4h, vu le tarif mais nous n'arrivons qu'après 10h de trajet, après avoir passés plusieurs cols de montagnes. Dans le car, un bambin typé tibétain est bien mignon, mais il n'a pas l'air d'apprécier les virages et l'odeur de vomis nous accompagne jusqu'à destination...
La température s'est quand même bien améliorée depuis Chengdu. La végétation a également bien changée: des rizières en plateaux, des bananiers, la terre est par endroit couleur rouge feu. Nous nous enfonçons dans la campagne, proche du Tibet. Le Yunnan est la région la plus diversifiée de Chine en ethnies minoritaires, les habits et visages des habitants sont en effet bien différents du reste du pays.
Arrivés a Lijiang, nous partons à pied à la recherche d'un hostel pas cher. Dans la vielle ville pittoresque, parcourue par de nombreux canaux, nous trouvons notre bonheur. Une auberge non loin du centre, avec un aménagement riche en végétation et en bois, où harmonie rime avec tranquillité. Nous posons les sacs et nous nous baladons dans les ruelles, illuminées par des lanternes rouges où des échoppes offrent des souvenirs colorés en tous genres, vêtements artisanaux, sacs, pendentifs, bijoux, cuivre... Des stands culinaires (œufs de caille, riz cuit dans du bambou, grillades de viande et de poissons, escargots...) ouvrent notre appétit et nous nous arrêtons dans un restaurant perché au niveau des toits, décoré avec goût. Nous goutons les spécialités culinaires de la région, galette fourrée à la pâte de haricot vert, sorte de riz fris amélioré et soupe de pâtes aux légumes jaunes inconnus. La ville est plutôt touristique et nous avons peur de nous perdre dans le dédale des rues pavées, de canaux et de ponts en pierre et en bois. Au sommet d'une colline, nous apercevons un temple. La bonne humeur y règne et cela fait du bien de se retrouver dans une vieille ville piétonne, sans building ni Klaxon.
Après une petite nuit 3 étoiles dans le train couchette, nous sommes arrivés à Panzihua, petite ville de 1.3 million d'habitants, ne figurant même pas sur notre guide. C'est comme si Munich n'était pas mentionné dans le guide de l'Allemagne... Nous montons dans un bus, qui nous emmène après une heure de traversée dans la ville à la gare routière. Nous prenons alors un car pour Lijiang. Nous pensions en avoir pour 4h, vu le tarif mais nous n'arrivons qu'après 10h de trajet, après avoir passés plusieurs cols de montagnes. Dans le car, un bambin typé tibétain est bien mignon, mais il n'a pas l'air d'apprécier les virages et l'odeur de vomis nous accompagne jusqu'à destination...
La température s'est quand même bien améliorée depuis Chengdu. La végétation a également bien changée: des rizières en plateaux, des bananiers, la terre est par endroit couleur rouge feu. Nous nous enfonçons dans la campagne, proche du Tibet. Le Yunnan est la région la plus diversifiée de Chine en ethnies minoritaires, les habits et visages des habitants sont en effet bien différents du reste du pays.
Arrivés a Lijiang, nous partons à pied à la recherche d'un hostel pas cher. Dans la vielle ville pittoresque, parcourue par de nombreux canaux, nous trouvons notre bonheur. Une auberge non loin du centre, avec un aménagement riche en végétation et en bois, où harmonie rime avec tranquillité. Nous posons les sacs et nous nous baladons dans les ruelles, illuminées par des lanternes rouges où des échoppes offrent des souvenirs colorés en tous genres, vêtements artisanaux, sacs, pendentifs, bijoux, cuivre... Des stands culinaires (œufs de caille, riz cuit dans du bambou, grillades de viande et de poissons, escargots...) ouvrent notre appétit et nous nous arrêtons dans un restaurant perché au niveau des toits, décoré avec goût. Nous goutons les spécialités culinaires de la région, galette fourrée à la pâte de haricot vert, sorte de riz fris amélioré et soupe de pâtes aux légumes jaunes inconnus. La ville est plutôt touristique et nous avons peur de nous perdre dans le dédale des rues pavées, de canaux et de ponts en pierre et en bois. Au sommet d'une colline, nous apercevons un temple. La bonne humeur y règne et cela fait du bien de se retrouver dans une vieille ville piétonne, sans building ni Klaxon.
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L'homme au chapeau |
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Le nid de cailles |
Des bisous à tous les 2. C'est sympa de suivre toutes vos aventures. Steph, Mat, Maël et Baptiste
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