Ko Samet: l'île thaïlandaise, enfin une réalité!

16.01.2012
La nuit a été reposante, mais quelques heures de plus n'auraient pas fait de mal! Il existe 3 types de moustiques, ceux qui grattent un peu, ceux qui grattent beaucoup, même après 3 jours, et ceux dont le venin fait mal. Ce qui nous réveille 4 fois dans la nuit, on se tartine de baume du tigre qui apaise un peu toutes ces piqûres et on essaie de retrouver le sommeil. Mais un véritable déluge tombe dehors (nous sommes heureux de ne pas avoir opté pour la tente, qui se serait alors transformée en bateau!) et les fêtards profitent de la nuit pour brailler...
Il faut quand même profiter la plage! Nous finissons la bouteille de gaz, pour faire chauffer un café, les pieds dans le sable!
Ensuite vient la baignade, puis une autre et une autre. Nous cherchons à voir si l'on peut dormir pour moins cher mais c'est peine perdue, dans les bars on propose du gaz hilarant, d'autres drogues ne doivent pas être plus difficile d'accès, mais aucun logement à moins de 10€...
Yoann a trouvé un souvenir à ramener de Thaïlande puisqu'il se fait tatouer le dos d'une map-monde (c'est le même modèle qui orne notre salon à Munich!), au moins cela n'alourdira pas le sac.
Que fait-on de beau sur une île à part se baigner, se reposer et ne rien faire, et bien c'est toujours mieux que si c'était moins bien! Le sable est blanc et très fin, sûrement comme la poudreuse qui tombe chez vous. L'eau turquoise n'est pas un mythe, sa température n'invite pas à en sortir. On s'en donne à cœur joie en sautant dans les vagues!
Par contre, les routes sont fortement gadoueuses suite au déluge de la nuit, Yoann en profite pour se faire un bain de boue.
Un petit tour en ville, les prix de la bouffe, de l'eau et du reste sont celui d'une île, même le seven eleven gonfle ses prix que nous commençons à bien connaître (0.5€ un litre d'eau!). Lessive à la main pour avoir de quoi se mettre sur le dos en Inde, cartes postales, rebaignade, photos, mise à jour du blog, tel avec la famille...
Le soir comme à l'accoutumé de nos derniers jours passés dans un pays, nous mangeons au resto. Cette fois-çi assis sur des nattes, éclairés à la bougie et les pieds presque dans l'eau. Nous sommes servi par un lady-boy pas très aimable, mais le calamar au barbecue et les belles de jours sont un régal. Nous assistons à un spectacle de jongleurs de feu, puis profitons encore un peu de nos transats de notre hôtel au bord de l'eau.
 

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